Comment avez-vous connu la coopérative ?
C’est ma belle-sœur qui m’a parlé du magasin de Soisy lorsque je suis arrivée à St. Pierre du Perray en 2002 (elle n’y est pas cliente, bien qu’elle habite à 200 m …) . J’avais mangé bio à Grasse déjà, où nous avions passé 2 ans, et en arrivant en région parisienne, je cherchais un autre magasin bio dans le secteur.
Pourquoi êtes vous devenue sociétaire ?
Etant membre de Greenpeace, il me semblait intéressant d’être sociétaire d’un magasin bio afin de promouvoir l’agriculture respectueuse. Et j’aime mieux l’esprit de Biocoop par rapport à la qualité des produits et le respect de la nature que celui des grandes surfaces où je sais qu’il n’y a aucun respect vis-à-vis de la nature et du monde animal.
Comment participez-vous à la vie de la coopérative ?
J’aide occasionnellement lors des inventaires. En 2012 j’ai présenté les Indiens Kogi (vivant en Colombie), un peuple hautement écologique et spirituel, lorsque le magasin de Soisy sur Seine a organisé une fête de fin d’année. Je suis prête à renouveler la présentation (ou d’autres sujets intéressants) à Soisy ou dans les autres magasins, s’il y a de la demande.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les encourager à devenir sociétaires à leur tour ?
Je dirais aux lecteurs que cela vaut la peine de devenir sociétaire pour la simple raison que l’alimentation biologique devrait être l’avenir de l’humanité. Aider une coopérative bio à émerger ou à croître participe au bien-être de tout le monde. Luttons pour que nos enfants et petits enfants soient mieux nourris qu’actuellement et qu’ils soient moins confrontés aux allergies et d’autres maladies tel que la maladie de Parkinson, d’Alzheimer ou des cancers.
Quels sont vos rêves pour l’avenir de la Coopérative ?
Mes rêves pour l’avenir de la Coopérative sont :
– une machine à couper le pain à Soisy- sur Seine
– qu’il y ait de plus en plus de clients qui se sentent concernés par l’avenir de la terre
– que tout soit fait pour que le personnel des magasins Biovivéo, qui est vraiment adorable, serviable, dévoué et très compétent, reste (c’est-à-dire : salaires adéquats pour un travail demandant une certaine qualification, respect, bienveillance, confiance et reconnaissance de la part de l’employeur)