Jeune mariée, j’ai découvert les premiers supermarchés, univers modernes et fascinants à l’époque. En y fouinant un peu j’y ai trouvé des produits “éthiques”: un café, un chocolat et peu à peu quelques produits à la fois “éthiques et BIO”. C’est comme cela que j’ai fait connaissance avec l’univers BIO.
Bien plus tard en emménageant à Savigny mes achats de nourriture étaient déjà en grande partie BIO mais je les glanais d’un magasin à l’autre. Puis des bruits ont couru qu’une BIOCOOP allait s’ouvrir sur la RN7. Suspense !
C’est ainsi que je suis allée à une réunion d’information à Athis Mons animé par Bruno Dufételle. Il y a présenté BIOVIVEO. Le fait que ce soit une coopérative, sa charte, sa politique sociale, le peu d’écart entre les rémunérations horaires des salariés, le fait que tout le monde, clients et salariés peuvent devenir actionnaires pour un montant accessible (75 euros) m’ont séduits. J’ai de nouveau fait un choix éthique : je suis devenue sociétaire et au lieu de dépenser le budget alimentaire de mon foyer chez les multinationales, je préfère en faire profiter une coopérative à taille humaine, transparente et qui défend une économie durable. Je suis maintenant en phase avec mes convictions.
On peut aussi participer à la vie de la Coopérative et cela m’a amené à faire quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas : j’ai cueilli des orties pour Laurence Moineau qui les a cuisinées en bonne soupe dont on peut trouver la recette sur le site.
L’avenir de BIOVIVEO, c’est la continuité dans la qualité. L’effort doit se faire sur les prix et la publicité autour des journée – 10 % et peut-être les recettes économiques de Laurence. J’ai ainsi appris à cuisiner mes fanes de légumes grâce à une démonstration en magasin !