Comment avez-vous connu la coopérative ?
Par deux de ses fondateurs, Bruno Dufételle et Anne Bénard, que je connais de longue date
Pourquoi êtes vous devenus sociétaire ?
J’ai été embauchée par la Coopérative au printemps 2013, comme chargée de communication pour l’ouverture du magasin d’Athis-Mons. Travaillant pour la première fois dans une Coopérative, j’ai souhaité manifester mon engagement dans cet esprit de l’Economie Sociale et Solidaire, et saisir l’opportunité qui m’était donnée d’avoir le droit de vote aux Assemblées Générales. Je considère la démocratie comme une chance qu’il n’appartient qu’à nous de faire fructifier pour apporter notre pierre à l’édifice social, où que nous soyons.
Comment participez-vous à la vie de la coopérative ?
Après l’ouverture du magasin d’Athis-Mons, mon contrat a été pérennisé au service de la communication de la Coopérative dans son ensemble. A titre professionnel, je m’occupe donc du site internet, de la lettre d’information, des informations en magasin, des affichages extérieures, de l’élargissement de notre réseau de partenaires et de consom’acteurs. Etant par ailleurs très engagée dans la vie associative, et dans diverses initatives citoyennes et écologiques dans ma commune, je ne donne par contre aucun temps bénévole à la Coopérative, mais essaye de la faire profiter de mes expériences et réseaux parallèles.
Que diriez-vous à nos lecteurs pour les encourager à devenir sociétaires à leur tour ?
Il est plus facile de se plaindre de la société dans laquelle nous vivons que de prendre notre avenir individuel et collectif en main. Mais quel bonheur de donner du sens à chacune de nos journées en participant de manière positive et constructive au monde que nous laissons à nos enfants. Sensibiliser à l’écologie, encourager l’agriculture bio, consolider un modèle d’économie sociale et solidaire, soutenir de petits producteurs ici et ailleurs, faire essaimer l’humanité, la créativité, le vivant… C’est enthousiasmant !
Quels sont vos rêves pour l’avenir de la coopérative ?
Qu’elle puisse monter de nouveaux magasins à taille humaine, qui restent des oasis de consom’action, de rencontre, de réflexion, d’information. Et pourquoi pas mettre en place des services de livraison écologique, de traiteur bio, un restau alternatif bio et culturel… Et qu’elle arrive à toucher de plus en plus de monde pour inverser les tendances de consommation.